Tatoueur de la première heure
La deuxième convention de tatouage a lieu ce week-end à Rezé. Rencontre avec Tarzan , tatoueur à Nantes qui a vu du monde défilé dans sa boutique depuis 1981
La deuxième convention de tatouage a lieu ce week-end à Rezé. Rencontre avec Tarzan , tatoueur à Nantes qui a vu du monde défilé dans sa boutique depuis 1981
Dans son petit commerce de la rue de la Claverie, c’est lui le Grand Illustrateur, chargé d’Imager à fleur de peau les idées qui courent le siècle. • Pourquoi les gens viennent? En général, ils ne savent pas vraiment pourquoi Ils se font tatouer. Chacun accorde la signification qu’il veut bien à son dessin
En Loire-Atlantique, on recense une quarantaine de studios, dont celui de Tarzan, le doyen des tatoueurs nantais installé dans la cité des ducs de Bretagne depuis 1980,
Avec son look américain; très 70’s, tatoué de la tête aux pieds,il ouvrit son premier studio dans sa Bretagne natale, à Lanester, près de L’orient, en 1979
A Nantes, le « Picasso… du tatouage, c’est Tarzan. Ce Breton est le premier à s’être Installé dans la région pour ouvrir une boutique pignon sur rue.
Après la ‘sortie de « Tattoo you », Tarzan, tatoueur professionnel vient de
s’installer à Nantes.
« Ça coûte moins cher qu’un bijou et on ne risque pas de le perdre! • Armé d’un dermographe électrique, Gilles le tatoueurs « opère » un patient, solide gaillard musclé, moustachu et chevelu, dans son officine de Saint-Marc, à Brest (4, rue Kérivin ).
Après des débuts difficiles, le tatouage est assez bien implanté dans l’hexagone et devant un marché lucratif pour la vingtaine de tatoueurs se partageant le gâteau français.
Vers 1983, la diffusion commerciale de matériel, en se démocratisant, décide une vague de « bleu » à tenter leur chance sur la scène du tattoo, provoquant l’inquiétude des « anciens ».
Tarzan est tatoueur, installé depuis quelques mois à Lanester. Un métier comme un autre, qui lui plaît en tout cas…2 000 modèles en réserve » J’étais marin de commerce, et J’ai commencé le tatouage à la main »
Le « Louis Girard « pratique la pêche sur les bancs de Terre Neuve pour l’armement des Chalutiers Malouins de Loius Girard. Son exploitation à Saint-Malo se termine en 1976.